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En date du 3 novembre 2019, le géant pétrolier saoudien Aramco a confirmé son entrée en bourse. Cette dernière sera réalisée dans un premier temps auprès de la bourse d’Arabie saoudite. Aramco cède 5% de son capital, dont 2% sur le marché saoudien. L’entreprise devrait être valorisée entre 1'500 et 1700 milliards de dollars, ce qui représenterait de loin la plus grosse capitalisation mondiale. Pour mémoire, Aramaco produit environ 10% du pétrole mondial et annonce un bénéfice de plus de 100 milliards de dollars en 2018. Il faut savoir que l’entrée en bourse de la société est dans le pipeline depuis un certain temps. Elle s’inscrit en effet au sein du plan directeur « Vision 2030 » par lequel le gouvernement saoudien ambitionne de préparer son pays à l’après-pétrole, ceci notamment en multipliant les investissements en dehors du secteur énergétique. Les fruits de la privatisation graduelle d’Aramco sont censés à terme renforcer le fonds souverain d’investissement détenu par le Royaume. Il reste à savoir quel comportement les investisseurs vont adopter sachant que l’Arabie saoudite leur a promis des dividendes annuels de 75 milliards de dollars.
Jimmy Dupuis,
Responsable du thème politique Economie Extérieure
La Chine s’est progressivement hissée au sommet de la pyramide économique mondiale. En l’espace d’une trentaine d’années, elle est passée de la 10ème à la seconde place dans le classement des plus grandes économies par PIB nominal, un classement qui reste dominé par les Etats-Unis.
Le Parlement britannique a récemment approuvé sur le principe l’accord de sortie négocié par le premier ministre Boris Johnson. Cet accord prévoit un régime douanier spécial pour l’Irlande du Nord...
Aux termes de l'art. 39 de la Charte des Nations Unies, le Conseil de sécurité est compétent pour constater l'existence d'une menace contre la paix, d'une rupture de la paix ou d'un acte d'agression.
Par le biais de la stratégie « Mind the Gap », le Conseil fédéral a d’ores et déjà adopté plusieurs mesures afin de préserver les bonnes relations bilatérales entre la Suisse et le Royaume-Uni au-delà du Brexit.
À l’occasion du référendum du 23 juin 2016, le peuple britannique a voté en faveur d’une sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne (UE) à hauteur de 51,9 %. Fondée sur l’article 50 du traité sur l’Union européenne, la demande de retrait a été effectuée par le Gouvernement de Sa Majesté le 29 mars 2017.
Depuis que le Conseil fédéral a demandé des clarifications à Bruxelles, le dossier de l’accord institutionnel est plus ou moins passé en mode veille. Il faut avouer que l’imminence du Brexit est de nature à accaparer l’attention du partenaire européen.
En date du 23 juin 2016, 51,9% des citoyens britanniques se sont prononcés en faveur d’une sortie de l’Union européenne (UE). Le Royaume-Uni a officiellement informé l’UE de cette décision le 29 mars 2017.
Portée par l’Union Démocratique du Centre (UDC) et l’Action pour une Suisse indépendante et neutre (ASIN), l’initiative de limitation demande à ce que la libre circulation des personnes soit abolie. Les initiants souhaitent lutter contre les effets pervers d’une immigration qualifiée de démesurée.
Conformément à l’article 99 alinéa 2 de la Constitution fédérale, la Banque nationale suisse (BNS) a l’apanage de la politique monétaire. En tant que levier central de la politique macroéconomique, la politique monétaire tend à assurer une distribution du crédit conforme aux besoins de l’économie.