Une étude de l’Université des sciences appliquées de Zurich (ZHAW) nous apprend qu’un étudiant sur quatre souffre de symptômes dépressifs durant la pandémie.

Cette statistique particulièrement préoccupante s’ajoute aux avis des professionnels du secteur qui font état d’une augmentation de la fréquentation des services psychologiques des hautes écoles. La comparaison avec les chiffres 2017 montre une augmentation du simple au triple !

Ces données inquiétantes nous renvoient à une réalité évidente : les études supérieures ne servent pas qu’à acquérir des connaissances, mais aussi à tisser un réseau, former l’esprit et développer la réflexion intellectuelle au contact des autres.

Il est nécessaire que les universités et les hautes écoles puissent rouvrir leurs portes sans tarder, avec des plans de protection adaptés.